Ce travail est l’allégorie des « migrations cellulaires », migrations fondamentales car elles assurent des fonctions essentielles telles que la mise en place des organes au cours du développement embryonnaire, la cicatrisation des tissus abîmés voire la lutte contre des cellules infectées.

A partir de détails réels (découpes de cartes routières en forme de cellules continuées par des tracés imaginaires représentant les artères, veines, vaisseaux sanguins), je dessine des territoires fictifs imaginant les déplacements cellulaires.

Il s’agit donc d’analogie avec la science, de la naissance de la cellule à la mort cellulaire et des traces qu’elle peut laisser, de territoires encore inconnus.

Le « langage » de l’ADN que je leur ai inventé est une métaphore des signaux émis en permanence entre les cellules, et permettant leur déplacement dans le corps ou leur identification.

Les villes indiquées possèdent toutes un rempart.

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